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La corrélation entre la violence domestique et la maltraitance animale semble être très évidente, en cette période de pandémie il semble que la violence domestique et la maltraitance animale aient augmenté de pair.
En fait, depuis un certain temps, plusieurs professionnels soutiennent que je maltraitance des animaux elles ou ils la violence familiale sont liés, c’est pourquoi actuellement plusieurs associations comme la SPCA ils font équipe avec des refuges pour s’assurer Un endroit sur aux créatures des personnes qui sont maltraitées à la maison.
Quand en fait dans une maison où ils se produisent la violence familiale il y a un animal, pour essayer de le protéger, les personnes maltraitées réfléchissent mille fois avant de décider de partir, craindre les répercussions sur les animaux qu’ils devraient laisser à l’intérieur de la maison où ils sont maltraités e craignant le pire pour leur âme.
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Une solution pour aider les victimes de maltraitance
En effet, il semble que dans ces situations, la peur d’abandonner leurs animaux entre les mains de son bourreau, et le terreur des répercussions sur eux poussent la personne maltraitée à rester à l’intérieur de la maison où la violence est commise, qu’elle soit physique ou psychologique la situation ne change pas, mais grâce à cette nouvelle collaboration les animaux des personnes maltraitées ils seront accueillis dans les refuges où ils auront amour et protection puis seront rendus au propriétaire plus tard.
Ce partenariat s’avère en fait être l’une des meilleures choses jamais réalisées, Allison Mclauchlan, directeur exécutif de la Abri pour femmes de Kelowna en fait, il a déclaré : « Il s’agit d’un partenariat inestimable que nous avons avec les refuges pour animaux, car ils reconnaissent également la forte corrélation entre la violence envers les animaux et la violence domestique. » « Nos animaux et nos animaux de compagnie font partie de la famille. Ce n’est pas un grand pas de comprendre pourquoi les femmes ne les laisseraient pas derrière elles pour être encore maltraitées ou même tuées ».
Concernant la situation à laquelle de nombreuses femmes sont confrontées dans leur propre foyer, le directeur du SPCA de Kelowna, Sean Hogan il a exprimé ses pensées confirmant la joie et l’enthousiasme de la collaboration « Le fait que les ressources des agences travaillent ensemble … nous a permis d’intervenir beaucoup plus facilement et d’aider cette situation juste au moment où cela est nécessaire. »
Pendant la pandémie due au covid 19 les cas de mauvais traitements et d’abus domestiques ont considérablement augmenté, mais la pandémie n’a empiré et a souligné plusieurs situations préexistantes.
N’importe qui subir des violences doit contacter le numéro 1522 et même si le service d’accueil des animaux n’est pas encore mis en place dans tous les pays, rester chez soi avec son bourreau n’est jamais une bonne idée.
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