Il n’y a rien comme la mère d’un chien. Ne prenons pas ses chiots trop tôt !

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Dès la naissance des chiots, la mère chienne entame une saillie difficile qui durera au moins deux mois. Elle va les nourrir, les lécher, les nourrir, s’occuper d’eux, et quand ils vieilliront un peu, elle commencera aussi à les élever pour qu’ils deviennent des super chiens. S’ils restent assez longtemps avec elle, nous aurons moins de problèmes avec eux à l’avenir.

Un merveilleux toucher de la langue

Le léchage des chiots remplit, en plus d’éliminer les débris alimentaires, une fonction importante : la langue chaude de la chienne stimule les selles et les chiots digèrent la nourriture sans aucun problème. Câliner et protéger avec votre propre corps est également important, car jusqu’à la troisième semaine de vie, les bébés n’ont pas de mécanisme de thermorégulation bien développé, ils gèlent donc facilement.

Amour intelligent

Jusqu’à la deuxième semaine de vie, les chiens utilisent les meilleurs sens jusqu’ici développés : l’odorat et le toucher. Ils rampent le long des côtés de la mère et trouvent des mamelons, parfois ils travaillent aussi dur pour éloigner leurs frères et sœurs du robinet le plus attrayant … Une mère sage s’assure que chacun boit sa portion.

Peu à peu, les rouleaux maladroits se transforment en créatures mobiles, desserrant et absorbant les stimuli de l’environnement. Ensuite, la chienne commence à leur apprendre le savoir-vivre canin – qu’ils doivent faire preuve de respect envers les membres les plus âgés du troupeau, qu’ils doivent être attentifs aux signaux donnés par le corps, et enfin, que lorsqu’un animal adulte passe à proximité, il doit lui céder la place … Cet effet atteint un peu par la force, et un peu par la tromperie, tenant parfois un chiot indiscipliné, ou même le frappant avec sa bouche de manière disciplinaire, mais non menaçante.

Vous êtes déjà de gros chiens

Petit à petit, la chienne apprend aussi aux chiens que le bar à lait ne sera pas toujours ouvert ; lorsque leurs dents de lait commencent à sortir, l’alimentation devient désagréable pour elle. Même le yoreka ou le carlin le plus doux montrera aux enfants comment chasser, ce qui, comme nous le savons, est une compétence indispensable, surtout lorsque vous êtes un chien délicat et paisible.

Ne soyons pas une maman chien ! N’imitons pas la chienne

Il peut sembler que la meilleure façon d’élever un chiot est d’utiliser les méthodes de sa mère. Cependant, ne faisons jamais ceci :

Poignée de bouche

Parfois, la maman du chien discipline le chiot en le saisissant par la bouche. Nous savons cependant rarement quand utiliser cette prise, et surtout quand la casser. Ce comportement peut faire craindre au chien les mains humaines.

Saisir la peau à l’arrière du cou

C’était autrefois une méthode populaire pour discipliner les chiens. On prétendit que le toutou comprenait parfaitement qu’il avait été puni. Pendant ce temps, il est impossible de voir de tels gestes chez une chienne qui s’occupe de chiots – personne ici ne tire personne par le cou, bien qu’il arrive bien sûr que les enfants soient doucement déplacés par la peau vers un autre endroit. Cela n’a cependant rien à voir avec la discipline.

Laisser ton visage lécher

Sommes-nous heureux que le chien nous accueille comme maman ? Il y a du vrai là-dedans. Avec ce comportement, l’animal nous persuade de… vomir de la nourriture, car les chiens apportent de la nourriture dans leur estomac à leurs petits.

Se nourrir de la bouche

Certains ont expérimenté le fait de donner à leur chien des bouchées savoureuses, croyant que cela lui apprend à être doux et le place dans la position d’un chiot subordonné à la mère. En attendant, les chiens savent parfaitement que nous ne sommes pas leurs parents. Une telle flexion sur un animal de compagnie est désagréable pour lui, car c’est un geste dominant.

Super-mères à eux et … les enfants de quelqu’un d’autre

L’instinct maternel des chiennes est si fort qu’elles sont prêtes à donner leur vie pour protéger les chiots. Et il y a souvent assez de temps pour les enfants des autres.

Tout éleveur qui a élevé des portées de chiots à la maison pourrait vous dire à quel point il y a de la tendresse et des soins chez une maman chien. Malgré cela, les scientifiques sous-estimaient jusqu’à récemment le pouvoir de l’instinct maternel des animaux. Les expressions d’amour et d’inquiétude étaient, à leur avis, une sorte de réflexe inconscient. Récemment, cependant, la science a accordé aux animaux la capacité de ressentir des émotions au niveau des enfants de plusieurs années. Et que c’est vrai, cela est confirmé par des cas de comportement héroïque de chiennes sauvant leurs chiots du danger.

Les chiennes sauvages sont capables de briser la barrière de la peur des gens et de demander leur aide lorsque quelque chose de mal arrive à leurs enfants. C’est ce qu’a fait une chienne dont les chiots ont été enterrés dans la fosse en terre où ils ont grandi. La mère terrifiée a couru sur la route, où elle a réussi à attirer l’attention d’un conducteur qui passait. Elle l’a conduit sur les lieux de l’accident. Heureusement, il avait une pelle dans la camionnette et les chiens ont été sauvés.

Pour défendre les jeunes chiennes, elles peuvent attaquer un adversaire beaucoup plus fort. Alors ils se battent avec toute la férocité, parfois même jusqu’à la mort. Il convient de se rappeler lorsque nous abordons par inadvertance le chien avec les jeunes dans le nid. Il n’y aura pas de tarif réduit…

Le fort instinct maternel des chiennes est également utile lorsqu’il faut sauver un petit orphelin d’une autre espèce. Elles peuvent être d’excellentes mères nourricières pour les chatons, mais aussi pour les animaux sauvages abandonnés, comme les oursons et les jeunes renards. Il existe aussi des combinaisons surprenantes : les chiennes élèvent de petites chèvres ou s’occupent de canetons orphelins.

Dans un refuge africain pour animaux sauvages, la fille du Labrador a élevé un petit tigre. En Australie, l’agneau a eu une chance de survivre lorsque la dalmate Zoé l’a accueilli. Ces mères adoptives courageuses pourraient probablement nous en dire long sur les problèmes d’éducation des enfants adoptifs en pleine croissance !

Auteur : Paulina Łukaszewska

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